La Bonne Rey'cette
Je suis parti d’un constat simple : un large public par manque d’informations, de moyens financiers, de mobilité, de temps et de structures adéquates, ont des habitudes de consommations qui ne correspondent pas à leurs valeurs.
Des valeurs correspondant à celles du développement durable, alliant économie, social et environnement.
- Dans les grandes surfaces, de nombreux aliments sont importés des 4 coins du monde, alors même qu’ils sont produits dans la région, provoquant une explosion de l’empreinte carbone de notre consommation. Tant par le mode de transport, que dans la manière de produire.
- La trop lointaine provenance de certains produits provoque une accumulation d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur. La part de rémunération au producteur dans le coût d’achat en devient infime par rapport à la marge des revendeurs.
- Dans une société tournée vers la surconsommation et l’individualisme, le lien direct entre producteur et consommateur est quasiment exclus.
Des structures publiques, des associations, des particuliers, des entreprises se penchent déjà sur ces problématiques. Des solutions locales et pérennes sont déjà en place, mais peu, voir pas adaptées aux jeunes. Ou encore aux familles de classes moyennes actives donc prise en étaux dans la vitesse du quotidien. Ce public qui pourtant est en demande de solutions concrètes pour pouvoir engagé une démarche de changement dans sa consommation quotidienne.
C’est en partie pour répondre à cela que je me suis engagé, et que j’ai imaginé ce projet.